Comment se fondre dans la France profonde après avoir réalisé le casse du siècle ?
Voilà ce que doit résoudre «Riton les mains d’or» après un fric-frac audacieux à la SARAMITAINE. De plus, cerise sur le gâteau, Riton doit se colleter «Titi dit l’artiste», un second couteau de la cambriole qui a eu la même idée que lui, en même temps.
Il faut dire que les emplettes de l’impératrice Folaskaïa effectuées la veille, ont fait pleurer des rivières (de diam’s) et fleurir l’oseille. Le coffre des Galeries avait besoin d’une petite liposuccion.